Découverte De rôtisseur à développeur Drupal, le parcours typique d'une reconversion.
Pré-requis :
Aucun !La session parlera de :
- Rapide résumé de mon parcours
- Les conseils aux futurs devs
- Les conseils aux recruteurs (RH, responsable techniques, managers etc…)
- Conclusion : Drupal une bonne porte d’entrée?
Vous aurez appris :
Comment se reconvertir / comment recruter quelqu’un en reconversion.Captation de la conférence
Transcription
- L’association Drupal France et Francophonie vous présente les conférences du Drupalcamp Rennes 2024.
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Quentin Gaudino, son parcours typique d’une recouvertion de rôtisseur à développeur.
- Bonjour tout le monde, je me présente Quentin Gaudino, je suis développeur Drupal et je suis là pour parler de reconversion.
Ah oui je fais partie des reconversions, comme vous voyez j’ai commencé en tant que rôtisseur.
Il y a fort fort longtemps.
Petit disclaimer, tout cette conf est basée sur mon expérience personnelle principalement.
Mais pas que, je me suis un peu renseigné auprès de collègues parce que je ne suis pas le seul dans ce cas là.
Mais ça reste mon point de vue, ça n’engage que moi.
Rapidement, mon parcours.
J’ai fait un petit peu de fac, fac informatique.
La L1, ça m’a saoulé, beaucoup trop généraliste.
J’ai un peu serré les dents quand même.
J’ai fait une L2, deux mois, j’ai arrêté.
Beaucoup trop généraliste.
Je me suis dit c’est bon c’est mort.
Du coup arrêter les études c’est bien gentil mais il faut de l’argent pour vivre quand même.
Donc j’ai travaillé principalement en restauration pendant 2-3 ans.
Donc j’ai commencé en tant que rôtisseur-traiteur sur les marchés.
Donc le mec qui faisait les paëllas, les poulets rôtis, c’était moi.
À côté de ça, j’étais également serveur.
Et j’ai fini ma carrière dans la restauration en tant que sandwich artiste.
Donc le mec il fait les sandwiches chez Subway.
Rapidement, je gagnais un peu d’argent mais pas beaucoup.
Je n’arriverai même pas à avoir mon appartement.
J’ai dû rentrer chez mes parents, c’était galère.
J’ai cherché la stabilité.
Sustabilité quoi, fonction publique.
Allez SNCF, let’s go.
On est parti.
Donc je suis devenu contrôleur.
Contrôleur, j’ai fait ça 4 ans.
C’était enrichissant, ce n’est pas une passion.
C’était enrichissant quand même personnellement.
Ça m’a vite gonflé aussi.
Donc j’ai fait de l’assistance technique en interne.
Un peu plus mon domaine déjà.
Je dépannais les appareils de contrôle des contrôleurs par exemple.
Les téléphones et plein d’applications.
Et j’ai fait au total tout ça pendant 7 ans.
Et ensuite, je me suis reconverti.
Et ça fait maintenant un peu plus de 2 ans que je suis développeur chez Open.
Donc si on fait déjà un rapide calcul, j’ai fait 10 ans de travail alimentaire.
Aucune passion dans ce que j’ai pu faire avant.
C’est simplement un petit message d’espoir pour dire que ça peut prendre du temps des fois de se reconvertir.
Ce n’est pas grave.
Je l’ai fait tôt, certains l’ont fait plus tard.
Peu importe, ça peut prendre du temps.
Mais ce n’est pas grave.
Je pense que ça va tout se passer par là.
D’abord l’alimentaire, le confort ensuite.
Et je pense que c’est normal.
Alors parcours chaotique ou typique d’un reconverti ?
On a la chance dans notre milieu que des profils comme le mien, il y en a plein.
Je suis loin d’être seul.
Comparé à d’autres domaines qui vont être un peu plus, il faut suivre tel cursus, etc.
Donc chaotique, je pourrais dire oui dans certains domaines.
Si j’avais bossé dans d’autres types d’entreprises, d’autres types de parcours.
Pas dans notre domaine, à nous, dans le monde du développement.
Donc ça c’est un peu aussi notre chance.
C’est que la reconversion elle est quand même assez facilitée par ça.
On est habitué à ce genre de profil.
Je vais parler rapidement des trois phases de la reconversion.
Pour ceux qui pourraient envisager de se reconvertir au monde du développement.
Il y a l’avant formation.
Personnellement ça m’a pris à peu près un an.
J’étais employé.
Donc entre le fait d’installer un congé formation avec mon entreprise.
De rechercher des financements.
Donc moi je passais par les CPF, comme on peut voir à la pub, ou les nombres de SMS qu’on reçoit pour rien.
J’ai fait un CPF.
Dans le CPF, j’ai également été financé par Transition pro-Bretagne.
Qui est le pendant régional qui complète le CPF pour les financements.
Et la recherche d’école aussi.
Parce que je ne voulais pas faire de formation à distance.
Je savais que je ne tiendrais pas.
Je me connais un petit peu.
Donc la recherche d’école, ça m’a pris à peu près un an.
En étant employé.
Ensuite il y a la phase de formation.
J’ai fait une formation à Rennes justement.
Groupal Campus. Ce n’est pas possible.
Digital Campus.
On va y arriver.
Il y a quelque chose à faire effectivement.
Ça m’a pris à peu près 5 mois.
Grosso modo, stage compris.
C’est ultra dense.
On voit plein plein plein de technos.
De très loin, clairement.
Mais c’est raide.
Il faut travailler avant, pendant, après, peu importe.
Et la phase de recherche d’emploi.
Troisième phase.
Ça m’a pris 5 mois également.
Avec beaucoup de désillusions.
Je suis arrivé sur le fin de post-boom après l’après Covid.
On cherchait des développeurs à crever.
Mais pas du junior.
Parce que c’est compliqué.
Parce que les profils comme le mien, ils n’intéressaient pas des masses.
Comparé à d’autres.
Ce qui est normal, c’est qu’on cherchait l’expertise.
Donc il y a eu de la désillusion.
Mais si je suis là, c’est que j’ai réussi.
Et je pense que je ne suis pas le seul.
Il faut s’y tenir.
Il faut persévérer.
Il ne faut pas lâcher l’affaire.
Pour ceux qui sont en ce cas là.
Donc c’est normal.
Il faut simplement trouver une entreprise qui est capable de nous accompagner.
Parce que, en fait… En fait, ça ne marche pas comme ça.
Donc ça prend du temps.
C’est normal. Trouver la bonne boîte.
Alors, je vais parler pour ceux qui pourraient devenir de futurs devs.
De quelques pièges à éviter dans lesquels on peut tous tomber.
Déjà, je vais casser un mythe pôle emploi.
Principalement, c’est que tout le monde ne peut pas être dev.
Ce n’est pas vrai.
On n’est pas tous faits pour ça.
Et ce n’est pas grave.
Une fois le plus.
Il y a plein de métiers pour lesquels je ne suis pas fait.
Et c’est comme ça.
Où on peut l’être, mais on ne sera pas forcément bons ou pas épanouis.
Et je pense que ce n’est pas très intéressant.
Du coup, on fait ce genre de métier.
Parce que petite anecdote.
Ma mère, elle a 61 ans.
Elle a été coiffeuse toute sa vie, elle ne sait pas paramétrer d’imprimante.
Pôle emploi lui a dit qu’elle pouvait devenir dev.
Maintenant, on se reconvertit.
À un an de la retraite.
Clairement, non.
Ça demande certaines qualités.
Plus que compétences.
Qu’on n’a pas tous.
Et ce n’est pas grave.
Et il faut se poser quand même la question.
Est-ce qu’on peut être fait pour ce métier-là ?
Parce que je pense qu’il faut déclencher une petite passion.
Ou un réel intérêt pour la chose.
C’est pour moi pas un métier alimentaire, en tout cas.
Pareil, je vais aussi casser un autre mythe.
Des écoles.
En sortant d’une école, on n’est pas dev full stack.
Mais alors pas du tout.
Voire pas dev, en fait.
Clairement.
Moi, j’ai eu beaucoup de discours.
Non, je ne savais pas faire grand-chose.
La technologie, je l’ai vu 4, 5, 6 jours, grand max.
Non, je ne suis pas dev.
Et je l’ai vite compris en arrivant aussi.
Mais une fois de plus, ce n’est pas grave.
On le sait sur ce genre de profil.
On ne sait pas faire grand-chose.
Et c’est comme ça.
Mais c’est pour ça aussi qu’il faut aussi travailler à côté.
Surtout dans son temps personnel.
Et il faut penser, coder.
Et se renseigner de soi.
Il ne faut pas attendre derrière les autres.
Du coup, on va parler des qualités à cultiver.
Pour moi, la qualité numéro 1.
Et celle où tout découle.
En fait, c’est la curiosité.
En tant que dev et de motivation.
Je pense que tous les devs le savent.
On est des éternels apprenants.
Il faut chercher, il faut apprendre, il faut consolider.
Et pour moi, tout découle de ça.
De cette curiosité.
Ensuite, il y a la motivation.
Surtout sur une conversion, il va falloir être motivé dur.
C’est long, c’est compliqué.
On ne comprend rien.
Mais justement, quand on est curieux,
comme on a envie de comprendre les choses,
on est motivé par nature.
C’est logique.
La patience.
J’ai fait 10 ans de travail alimentaire.
J’ai fait 1 an pour monter le dossier, pour faire la formation.
Ça a pris 2 ans au total.
Il faut de la patience, aussi bien pour la reconversion que quand en tant que dev.
Parce que quand tu passes 1h30 sur Google à chercher pourquoi ça ne marche pas et que tu ne comprends toujours pas, il va falloir être patient.
La patience et un peu résilient.
C’est pareil, c’est propre à la reconversion.
C’est une vraie démarche personnelle de se reconvertir.
Ce n’est pas évident.
Mais si on se donne les moyens, on peut le faire.
Et aussi, très important pour moi, l’humilité, la remise en question.
C’est ça aussi la force d’un dev.
C’est d’être capable d’apprendre une leçon d’un petit junior qui vient d’arriver.
On a beau être senior, on a beau être expérimenté, c’est ça qui est intéressant.
C’est de ne jamais être sur ses acquis.
Moi, il y a des trucs que je sais faire par cœur, mais je veux quand même souvent aller voir sur Google.
Et je pense que c’est un bon réflexe de toujours vérifier parce que ça évolue.
Et si on fait la même chose 10 ans, on n’est plus à jour si on reste sur ses acquis pendant 10 ans.
Et c’est pour ça aussi que je pense que tout le monde ne peut pas être dev.
Parce que là, il faut savoir mettre son ego de côté.
Parfois, quelqu’un qui va sortir d’école, il va dire, mais pourquoi tu fais ça comme ça ?
Parfois, en réponse, on va dire oui, pourquoi je fais ça comme ça en fait ?
Et c’est ça la force de notre métier.
Il faut rester humble.
Et naturellement, la communication, parce que je pense que vous le savez tous, on n’est pas tout seul derrière un écran.
Même des fois, quand on est tout seul à dev, dans une équipe, on est quand même dans une équipe, on est peut-être le seul dev, mais on n’est pas tout seul, il va y avoir un CP, il va y avoir un lead, il va y avoir plein de choses, peu importe.
Il faut être capable de remonter les alertes, il faut être capable de dire quand tout va bien, il faut être capable de dire quand c’est la merde. Il faut alerter, tout simplement, parce que ça arrivera.
On va arriver pour les recruteurs, si jamais il y en a qui ça peut intéresser.
Déjà, premier disclaimer, ne recrutez pas un reconverti ou un junior sans accompagnement, ça ne sert à rien, il ne fera rien.
Enfin, j’ai pu connaître les deux, l’avant et l’après, parce que justement, comme je le disais, je suis arrivé dans le tout post-Covid, chez Open.
Dans un projet où ils n’avaient pas le temps de m’accueillir.
Ils ne pouvaient pas m’accueillir, c’était compliqué, je ne voyais pas grand monde, je ne comprenais rien, j’arrivais là, j’étais un peu comme ça, mais qu’est-ce que je fais ici ?
J’ai démissionné de la SNCF, je me suis beaucoup remis en question, et en fait, du coup, pendant un mois ou deux, peut-être, on essayait de m’accompagner comme on pouvait, mais mon lead, qui est là, n’avait pas le temps. Il avait d’autres chats à fouetter.
Et du coup, grosse remise en question, c’était compliqué, j’étais capable de rien faire.
Par contre, j’ai eu l’inverse, après avoir serré les dents pendant un mois ou deux, on m’a dit, t’inquiète, on va s’occuper de toi, et en fait, là, oui, vraiment, j’ai pu connaître l’après, du coup, et là, avec de l’accompagnement, j’ai pu apprendre, j’ai pu évoluer, et même plutôt vite.
Parce qu’il y a un accompagnement, il y a une équipe qui est là pour apprendre.
Donc, premier disclaimer.
Mais du coup, que rechercher chez quelqu’un qui ne sait rien faire, en fait ?
Des soft skills, évidemment.
Alors, du coup, on va rejoindre la curiosité.
Il faut essayer de déceler chez le candidat, je pense, sa soif d’apprendre.
Si on pose la question à quelqu’un et qu’il dit, je ne sais pas, mais je veux bien que tu m’expliques, qu’on m’explique comment, pourquoi, comment on fait ça.
Je pense que c’est une bonne qualité.
Je pense que retrouver ça chez quelqu’un ça peut être intéressant, quelqu’un qui a l’air d’être intéressé, qui veut apprendre.
Parce que c’est ce qu’on va chercher en premier, je pense.
Et du coup, la communication, naturellement, il faut avoir quelqu’un qui arrive à communiquer.
Surtout quand on est en phase d’apprentissage, il faut communiquer beaucoup.
On perd beaucoup de temps là-dedans aussi, pour les autres, mais bon, ça fait partie du process.
L’esprit d’analyse, parce qu’il va falloir quand même réussir à décomposer des gros problèmes où on ne comprend rien, en des petits problèmes, qu’on comprend facilement.
Ça, il va falloir réussir à le déceler.
Et la motivation, parce que, voilà, on part de loin aussi.
Donc, il va falloir être motivé.
Moi, je sais que mes premiers mois chez Open, je pense que pendant 6 mois, je n’ai pas dormi beaucoup. Je pensais code du matin au soir, je rêvais code, le week-end, je pensais à du code, je lisais de la doc parce que comment ça marche.
Donc, il faut être motivé.
La vie sociale a été un peu mis de côté un moment, mais bon, ça fait partie aussi du jeu, je pense.
Est-ce que, oui, parce qu’on va quand même parler de Drupal un moment, est-ce que Drupal, c’est une bonne porte d’entrée ?
On va commencer par un côté un peu moins sympa, alors non. Pourquoi ?
Parce que c’est quand même un système assez complexe, qui demande une certaine capacité d’abstraction au départ.
Au tout départ, quand on se met là-dedans, moi, je comparais tout à Symfony. Quand on était en Drupal 9, je ne retrouvais pas mes petits. Franchement, j’étais perdu.
Je ne comprenais pas grand-chose. C’est assez complexe.
Et même, ça tend à s’améliorer quand même.
La doc, au tout départ, j’ai beaucoup de mal à retrouver de la documentation claire et complète surtout. Là où, une fois plus, je comparais ça avec Symfony, où on trouvait tout ce qu’on voulait dans la doc officielle.
Drupal, c’était pas tant de la doc officielle, c’était beaucoup plus de stackoverflow.
On ne va pas se mentir.
Mais franchement, en deux ans, je vois la diff. C’est bien mieux aujourd’hui.
Mais oui, quand même, on ne va pas se mentir. C’est quand même pas mal pour commencer finalement.
Parce que déjà, il y a le côté CMF.
Je précise CMF. Pour moi, c’est un Content Management Framework, et non pas système.
Mais bon, ça, c’est encore un notre débat.
Parce que du coup, ça permet de rentrer quand même, grâce au BO, doucement dans le code.
Donc, on commence à faire des choses sans se rendre compte de la complexité qu’il y a derrière. On va créer une node, on va créer un type d’entité, un paragraphe, peu importe.
On crée des entités derrière.
Et on va rentrer doucement dans le code avec un petit pré-processor.
On va changer deux, trois choses.
Et finalement, c’est une bonne point d’entrée à ce niveau-là.
On a déjà un système déjà qui est tout packagé pour nous, quand même.
Et puis, le système de module. Parce que il y a les gens qui sont bien plus intelligents souvent que nous ou qui connaissent bien mieux le sujet.
On fait des choses pour nous qui marchent bien mieux.
Ce qui permet du coup d’étendre des fonctionnalités super facilement. Et en tant que dev, c’est intéressant de voir comment fonctionnent les autres, je trouve.
On installe un module, on s’en rend compte que ça ne correspond pas tout à fait.
On va voir comment il fonctionne et essayer de l’améliorer ou de le changer.
Et ça, je pense que c’est aussi intéressant pour rentrer dans le monde du développement.
Et petite conclusion.
Deux ans après, moi, personnellement, où j’en suis, j’ai la chance d’avoir une…
J’adore cette image, merci Erwan !
Aujourd’hui, j’ai une vraie reconnaissance l’expertise au sein du pôle.
Donc, je peux travailler des fois seul, à un certain moment, sur certains projets.
J’ai même la chance d’accompagner les juniors aujourd’hui. Et justement, de leur éviter aussi les pièges dans lesquels j’ai pu tomber, ou les déboires que j’ai pu connaître dans l’entreprise.
Voilà. Et donc, je suis un des nombreux exemples de reconversion qui marchent, en fait.
Voilà. On est plein, je ne suis pas le seul.
Et voilà. Je veux juste apporter un petit message d’espoir aussi, que ça se fait, même si le marché peut se tendre, peut être compliqué par moments.
Ça se fait. Il faut être patient, il faut serrer les dents.
Je vous remercie. J’ai été ultra méga rapide !
Si jamais vous avez des questions, il reste cinq minutes, je suis large.
Bon, bah, tant pis pour vous.
Ouais ? Surtout la paëlla.
Mes parents m’ont même acheté un poêlon pour mes 30 ans,
J’ai fait une paëlla pour mes 30 ans.
Je pense que j’ai dû en faire une bonne douzaine, peut-être plus.
Bah, enfin, je parle en termes d’entretiens.
Non, postuler, un peu plus, mais après, la magie internet, on oublie un peu combien de mails on a envoyé, on va pas se mentir.
Mais non, en entretiens, j’ai dû en faire une douzaine, je pense.
Et en fait, du coup, j’ai vu aussi une grosse disparité sur les demandes des boîtes.
Autant certains, c’est bon, ça va, il est junior, on va poser quelques questions, d’autres, c’était avant de faire l’entretien, il fallait installer toute le stack en docker, dont un WSL, pour faire des tests techniques, c’était des usines à gaz.
Donc, j’ai dû avoir une douzaine d’entretiens avec des boîtes différentes.
Et puis, chez Open, je me suis fait arnaquer par notre architecte qui m’a dit, oui, mais tu vas voir, Drupal c’est comme du Symfony. Moi, je voulais faire du Symfony à la base.
Non, c’était une bonne arnaque, mais…
Ça répond à ta question, ouais ?
Super.
Non, personne d’autre.
Allez.
Merci à tous, en tout cas.